USA : un réfugié afghan se venge des Américains qui ont sauvé sa famille des Talibans – Démocratie Participative

USA : un réfugié afghan se venge des Américains qui ont sauvé sa famille des Talibans

La Rédaction
Démocratie Participative
\n25 mai 2025

 

Et le plus drôle, c’est que c’est certainement l’Afghan le moins ingrat du lot.

🤙🏽Facts Dude Drop : une nouvelle caméra corporelle montre un migrant afghan se heurtant à un policier de Fairfax

Le migrant afghan Jamal Wali a proféré des insultes anti-blancs, exhibé un g*n et chahuté deux officiers.

Sans permis et furieux d’avoir reçu des allocations, il a été abattu par un troisième policier.

Fox News :

Les autorités ont diffusé des images de la caméra corporelle montrant les moments chaotiques qui ont précédé une fusillade mortelle impliquant un policier à Fairfax, en Virginie, au mois d’avril. Dans un communiqué de presse accompagnant les images, le service de police du comté de Fairfax (FCPD) a qualifié l’incident de « tentative de meurtre ».

Le 23 avril, un agent a arrêté Jamal Wali, 36 ans, pour excès de vitesse. Wali avait également une vignette d’inspection de sécurité expirée. Lorsqu’il a été arrêté, Wali a freiné brusquement, ce que l’agent qui s’est d’abord approché du véhicule de Wali a remarqué.

Wali a alors informé l’agent qu’il était armé et lui a demandé pourquoi il était arrêté. À partir de là, la situation a pris une tournure chaotique, car Wali, manifestement en détresse, s’est mis à crier, à jurer, à refuser de donner son nom et à dire qu’il n’avait pas de permis de conduire ni de carte grise pour son véhicule.

Afghan le plus pro-américain des États-Unis

Alors que le policier tentait de désamorcer la situation, Wali s’est mis à se plaindre, en proférant des injures, de la manière dont il avait été traité dans le pays et a déclaré qu’il était venu aux États-Unis après avoir servi de traducteur pour les forces américaines en Afghanistan.

Il a déclaré qu’il était arrivé aux États-Unis après avoir servi de traducteur pour les forces américaines en Afghanistan. « J’aurais dû servir avec ces putains de talibans », a crié Wali à l’officier.

Les bougnoules sont généralement très remontés contre les Blancs qui les aident.

Cet Afghan n’a pas supporté de devoir la vie aux Américains.

Jour et nuit, il gardait une arme à portée de main pour laver son honneur meurtri.

Wali a fini par sortir une caméra de type GoPro et a commencé à enregistrer le contrôle routier. La police a ensuite obtenu cet enregistrement et l’a inclus dans la vidéo de la caméra corporelle rendue publique vendredi.

Deux autres agents du FCPD sont arrivés pour aider l’agent qui avait initié le contrôle routier, l’un se tenant du côté du conducteur et l’autre du côté du passager. Wali a fini par prendre son arme et a tiré sur les deux agents qui se trouvaient du côté du conducteur. Selon le chef du FCPD, Kevin Davis, une balle a traversé les bras des deux agents avant d’atteindre une voiture garée de l’autre côté de la rue, dont elle a brisé la vitre arrière.

Wali a été blessé par balle et transporté à l’hôpital, où son décès a été constaté.

Avec les compliments du cancer de Joe Biden

“Il est toujours regrettable de perdre une vie. Il est regrettable que M. Wali ne soit plus parmi nous“, a déclaré M. Davis lors d’une conférence de presse annonçant la diffusion des images. Il a confirmé que M. Wali était marié et père de quatre enfants, comme il l’avait affirmé lors de son interaction tendue avec le policier.

Le chef de la police a déclaré que « l’impact sur ces enfants est inimaginable, et ils porteront cela avec eux pour le reste de leur vie, nous prenons donc cela très au sérieux ».

M. Davis a reconnu que le policier qui se trouvait du côté du passager avait sauvé la vie des autres policiers qui sont intervenus.

Les enfants de ce martyr vont en effet se rappeler toute leur vie de la férocité des mécréants et vont consacrer toute leur énergie à propager le djihad en Amérique pour venger leur père, injustement sauvé des Talibans par Biden en 2021.

Nous aussi, en France, nous allons pleinement bénéficier de cette gratitude.

Pour faire des retweets et des likes, Macron a également importé plus de 60 000 de ces traducteurs depuis 2021 sans lesquels jamais la France n’aurait pu faire triompher les valeurs de la République en Afghanistan.

Médiatiquement, c’était un grand moment de ventilation ovarienne.

Les galonnés de notre formidable armée hurlaient partout à “l’honneur de la France”, traitant de mauvais Français, voire de traître, quiconque se montrait un peu trop sceptique face à cette obligation morale dont personne n’avait jamais entendu parler jusque-là.

C’est que pour un “traducteur” magique afghan, il faut non seulement importer ses trois ou quatre femmes, les enfants, la belle-mère, mais aussi les oncles, les tantes, les cousins, les cousins éloignés, les voisins, les habitants du village d’à côté et encore bien des réfugiés politiques !

Et je ne voudrais pas manquer de rappeler que depuis l’année dernière, un bidule administratif obscur géré par des femmes blanches a décrété que toutes les femmes afghanes avaient un droit inaliénable à la France.

Grâce au regroupement familial, l’autre moitié de l’Afghanistan a également un droit inaliénable à la France puisque toutes ces moukères afghanes sont mariées dès 12 ans.

Avec ces quelques 60 000 nouveaux Français, ardents patriotes à l’image de Jamal Wali à Fairfax, imaginez ce que l’équivalent de la population de Chambéry, Niort ou Troyes va pouvoir réaliser dans nos rues à brève échéance !

Laissez-moi vous dire que les gwers vont apprendre la politesse.