Tags et menaces antisémites dans l’immeuble de la vieille Knoll : prison ferme pour la juive qui avait tout inventé – Démocratie Participative

Tags et menaces antisémites dans l’immeuble de la vieille Knoll : prison ferme pour la juive qui avait tout inventé

La Rédaction
Démocratie Participative
\n15 mai 2025

Comme les chambres à gaz, cette agression “antisémite” n’a jamais existé.

Le Parisien :

Nancy S., 51 ans, a été condamnée ce mercredi 14 mai par le tribunal judiciaire de Paris à deux ans et demi de prison — dont un an et demi probatoire — pour dégradation à caractère antisémite et dénonciation mensongère, pour une série de tags et menaces antisémites dont elle se disait victime, en octobre dernier, dans son immeuble HLM de l’avenue Philippe-Auguste à Paris (XIe). Adresse à laquelle elle a interdiction de paraître pendant la durée probatoire. Cela fait partie des obligations ordonnées par le tribunal, sous peine d’aller en prison pour deux ans. Le parquet avait requis trois ans d’emprisonnement, dont deux années probatoires.

« Eu égard à la gravité des faits et à la teneur des propos, le tribunal vous déclare coupable de l’ensemble des faits », a précisé la présidente de la 23e chambre, dédiée aux comparutions immédiates.

Les juges ont condamnée cette juive à de la prison ferme pour antisémitisme !

La mère de famille a aussi l’obligation de suivre des soins psychologiques, de travailler ou de suivre une formation, et l’interdiction d’entrer en contact avec les parties civiles et sa fille, en dehors des décisions du juge des enfants. Elle accusait l‘adolescente de 16 ans d’être à l’origine des délits.

Obliger un juif à travailler, autant dire que c’est une nouvelle shoah

En s’approchant de son avocat, Me Philippe Sarda, à la sortie de la salle, Nancy S. a laissé échappé un « c‘est inadmissible », songeant déjà à faire appel. Sa défense avait dénoncé la fragilité des preuves et le témoignage à charge de sa fille, qu’aurait pu orienter un enquêteur de police.

Mère et fille avaient été filmées à leur insu par une caméra installée par la police dans la cabine d’ascenseur le 18 janvier. Quelques secondes diffusées à l’audience. Des images sans le son, où l’on voit l’adolescente tracer au marqueur des inscriptions, le regard tourné vers sa mère, dont on ne voit que la chevelure blonde, comme si elle prenait ses directives auprès d’elle.

La mère avait alors livré une explication bien difficile à suivre : sa fille aurait voulu se venger d’une voisine qui avait appelé le 119, enfance maltraitée, déclenchant une enquête sociale. Ces tags n’auraient poursuivi d’autres buts que de faire porter les soupçons sur la fameuse voisine… Sa fille lui aurait dit : « Ne t’inquiète pas, on va faire sortir le loup de la forêt », « suggérant, de faire des tags pour que la personne s’énerve ». « Moi, j’étais dans un état lamentable », avait-elle indiqué. Nancy S. avait précisé que sa fille se sentait mal-aimée, car elle dédiait son temps au jeune frère malade. Les deux enfants ont été adoptés en Afrique. Les policiers ont aussi découvert que le timbre apposé sur une lettre de menace, avait été acheté avec la carte bancaire de la quinquagénaire.

Cette histoire est exceptionnelle.

La jeune fille fait l’objet d’une mesure d’assistance éducative, et semble « plutôt satisfaite de son placement », avait relevé le tribunal, lors du procès, le 31 mars.

À l’automne 2024, Nancy S., employée à la brigade régionale de sécurité des lycées de la région Île-de-France, avait témoigné auprès de nombreux journalistes de sa peur, pour elle et surtout pour ses enfants. Elle avait raconté les « croix gammées, les étoiles juives » et les menaces de mort. Elle expliquait avoir découvert des messages dans sa boîte aux lettres — « Vous souffrirez », « Sale juive morte » — suivis du numéro de son étage.

Paris Habitat, le bailleur social avait suivi la situation de près, quitte à la reloger si c’était la solution pour assurer sa sécurité. Le maire du XXe, François Vauglin (PS), était plus qu’attentif à la situation, dans un immeuble déjà traumatisé par l’assassinat de Mireille Knoll, 85 ans. La rescapée de la Shoah, tuée dans d’atroces circonstances par un voisin parce que juive, en 2018, vivait là.

Je ne me lasserai pas de le rappeler : la vieille Knoll n’a jamais été “tuée par ce que juive”.

Elle avait dénoncé à la police son voisin maghrébin, Yacine Mihoub, qu’elle connaissait depuis des années et qui la visitait fréquemment, pour avoir agressé sexuellement la fille de l’aide-soignante qui se rendait régulièrement chez elle.

Il avait été condamné à de la prison ferme. Sa soeur est décédée durant sa détention, et la justice lui a refusé d’assister aux obsèques.

C’est la raison qui l’a poussé à vouloir se venger.

Cette histoire a été sciemment occultée par les médias juifs pour alimenter la thèse de “persécutions antisémites” imaginaires.

La justice a suivi sous la pression intense de la juiverie.

Et la voisine de la vieille Knoll est sur le même registre : mythomanie communautaire à outrance.

Il semble que les juges commencent à être lassés des outrances de ces juifs et c’est bien le sens de cette condamnation.

La peur a gagné les étages. « J’ai cru que l’assassin pourrait venir chez moi », avait témoigné un voisin de 94 ans, petit homme frêle se déplaçant avec un déambulateur, accompagné à la barre du tribunal par sa fille qui s’est constitué partie civile. Il avait été plongé dans l’angoisse, au point d’être hospitalisé pour le réveillon de Noël. Il n’en est pas revenu d’apprendre que le corbeau était Nancy S., petite-fille de déporté, elle aussi. Elle devra l’indemniser de 5 000 euros pour le préjudice moral. « Je vais le prévenir tout de suite de la décision », lâche sa fille, en quittant le tribunal.

Nancy S. devra également rembourser un peu plus de 7 000 euros à Paris Habitat pour le préjudice financier, il a fallu changer du mobilier quand le feutre n’était pas effaçable, dédommager la voisine incriminée à hauteur de 2000 euros et régler 2 400 euros de frais de procédure engagés par les parties civiles. La quinquagénaire vit désormais en Seine-Saint-Denis avec son fils et est hébergée par une proche.

Ces juifs sont des menteurs consubstantiels.

Pour une affaire révélée de la sorte, on peut en compter des dizaines du même ordre qui sont le fait de ces juifs.