“Si vous voulez monter, baissez un peu vos vêtements” : un chauffeur de la RATP recadre une pute – Démocratie Participative

“Si vous voulez monter, baissez un peu vos vêtements” : un chauffeur de la RATP recadre une pute

La Rédaction
Démocratie Participative
\n20 mai 2025

 

Le “féminisme”, c’est-à-dire la primauté légale de l’hypergamie féminine jusqu’à ses conséquences ultimes, l’avortement de masse et la dénatalité, est le cancer qui détruit le monde blanc.

Cela a été souvent abordé ici :

C’est pourquoi, depuis toujours, nous défendons l’instauration stricte de la Charia Blanche :

L’invocation de la Charia Blanche a cette vertu de faire frissonner du même mouvement les juifs, les homosexuels et les femmes blanches.

Si l’homme blanc n’a plus guère la force de volonté de tenir les femmes en laisse, laissant ces harpies détruire la société, les Musulmans ont un fonctionnement différent, ou disons plus vigilant quant à ce fléau éternel.

Cette vidéo qui buzze en ce moment montre la France diversifiée remettre de l’ordre dans les transports en commun.

Et certes, c’est une juste mesure.

Nous n’arriverons probablement jamais à faire entrer dans la cervelle d’un droitardé que c’est le féminisme qui a permis l’islamisation de la société française par le triple jeu du désarmement légal et psychologique de l’homme blanc, de la dénatalité systémique qu’elle engendre et de l’immigration massive qui en est la conséquence mécanique.

Ils continueront d’aboyer contre les barbus tout en laissant leurs filles se tatouer à 13 ans, ne faisant à aucun moment l’association logique entre la déstructuration des sociétés occidentale et la putisation des femmes blanches.

Ils diront que, de tout temps, les femmes déambulaient avec des jupes raz la chatte dans les rues françaises.

Biarritz à l’heure de la Charia Blanche, 1900

Les Musulmans ont un fonctionnement plus élémentaire. Ils sont à la fois le problème et la solution à ce problème. Parce qu’ils savent à quel point l’Arabe de base est un violeur en puissance, ils surveillent leurs soeurs comme le lait sur le feu et veillent à ce que le menu ne soit pas visible au premier coup d’oeil.

À cet égard, les femmes blanches sont moins portées sur le port de tenue de pute complètement désinhibée que les femmes orientales. C’est encore aggravé par les kilos qu’elles accumulent à force de bouffer les pires pâtisseries.

Contrairement à une idée reçue, la pudeur ne fait pas partie de la culture de ces peuples-là. Si le voile est apparu en Orient, ce n’est pas un hasard : les Arabes sont certes des violeurs, mais leurs femmes sont des roulures qu’il faut tenir enchaînées sous peine de très désagréables surprises.

Les Blancs l’ignorent, mais la Charia est très nettement préférable à des Arabes laissés libres de faire ce qu’ils veulent comme le prescrit la démocratie. Qui peut croire qu’une loi qui prévoit de couper la main des voleurs n’est pas foncièrement anti-arabe ?

La réaction de ce chauffeur de bus est un réflexe de conservation en environnement afro-oriental. C’est aussi le meilleur conseil qu’il aurait pu donner à cette catin basanée : il ne faudra pas longtemps avant qu’elle finisse violée par un gang de blédards.

Et surtout, puisque les hommes blancs refusent de remettre leurs muselières aux femmes, l’homme musulman prend sur lui d’assumer cette lourde tâche.

À César ce qui revient à César.