La Rédaction
Démocratie Participative
\n20 mai 2025
Inauguration du nouveau maire de Rotherham, en Angleterre.
Rukhsana Ismail sera le maire de cette ville anglaise du Yorkshire.
New Mayor of Rotherham, England is inaugurated.
Rukhsana Ismail will serve as the Mayor of the English town in Yorkshire.
— Oli London (@OliLondonTV) May 20, 2025
Le nouveau maire de Rotherham, en Angleterre.
Rukhsana Ismail a été nommée maire de la ville du Yorkshire, qui compte plus de 100 000 habitants.
The new Mayor of Rotherham, England.
Rukhsana Ismail has been inaugurated as the Mayor of the Yorkshire town, which has a population of over 100,000. pic.twitter.com/QYFOpZl0vU
— Oli London (@OliLondonTV) May 20, 2025
Il faut préciser que les maires d’Angleterre ont une fonction essentiellement protocolaire et que le pouvoir exécutif est détenu par le chef du conseil municipal (Leader of the council).
Ce sont les conseillers municipaux, élus pour quatre ans et au nombre de 59 à Rotterham, qui élisent le maire pour une durée d’un an.
La métropole de Rotterham compte 265 000 habitants et la ville elle-même près de 130 000 habitants. Le maire représente la métropole dans son ensemble.
Contrairement à une idée reçue, le recensement de 2021 indique que la population de la métropole est blanche à 91%, bien loin de villes aussi ravagées que Birmingham ou Londres.
C’est dire si les indigènes blancs se moquent comme d’une guigne de la réduction en esclavage de leurs propres filles par les gangs islamo-pakistanais pendant des décennies.
La première racine de l’immigration non-blanche et du système multiculturel se trouve dans la cervelle défaillante des Blancs.
Pour créer un système socialement et économiquement efficace, les bourgeoisies démocratiques occidentales ont détruit le sentiment d’appartenance des peuples blancs au profit de l’émergence de l’individu, le “citoyen”, dont le seul représentant est “l’État de droit”.
L’égalitarisme démocratique qui façonne culturellement ce système apprend aux Blancs à nier viscéralement l’existence des races — à commencer par la race blanche –, les différences entre elles et les dynamiques conflictuelles que cette hétérogénéité génère automatiquement en raison de leur hiérarchisation organique.
Cet égalitarisme démocratique à prétention universelle, en pratique limité aux pays blancs, est la version sécularisée du christianisme. Il agit sur les esprits blancs comme le prolongement de ce monothéisme. Celui qui s’en écarte devient anathème, privé de communion, c’est-à-dire mis au ban de la communauté.
C’est la suspicion du péché de “racisme” qui pèse en permanence sur l’homme blanc.
Les Blancs admettent en revanche que les non-Blancs ne partagent pas leur relativisme culturel. Ils les invitent à coloniser leurs pays et les encouragent même à cultiver un hermétique communautarisme ethno-tribal une fois sur place.
Cette promotion du racisme allogène est essentiellement conçue comme un moyen de contenir préventivement les Blancs, le réveil du sentiment collectif blanc étant l’angoisse centrale qui traverse les démocraties édifiées sur son démantèlement.
Gare aux Blancs qui voudraient imiter les Musulmans, Asiatiques, Noirs d’Afrique, Roms, et autres, en vivant explicitement et exclusivement entre Blancs, selon des normes culturelles de leurs choix. Le “communautarisme” n’est un “enrichissement” culturel que s’il est le fait des populations allogènes — préférence étrangère oblige dans les démocraties cosmopolites anti-aryennes.
Sans la destruction de l’État démocratique moderne et celle des conceptions libérales qui lui ont donné naissance, la lutte contre le “racisme” blanc restera la boussole de l’État et de toutes ses politiques publiques, celles-ci étant paradoxalement financées avec l’argent des contribuables blancs à concasser et détruire.
“Le racisme antiblanc n’existe pas pour les sciences sociales”, seulement dans la vraie vie. https://t.co/8cwL2z3WXC
— Hervé Ryssen (@insoumix2) May 2, 2025