La Rédaction
Démocratie Participative
\n23 mai 2025
L’attentat perpétré en plein jour à Reykjavík était malheureusement prévisible. Il y a des forces qui haïssent leur communauté qui veulent cela et qui agissent durement contre ceux qui aiment leur communauté et qui ont mis en garde contre cela.
Trois vidéos de l’attentat sont réunies ici en une seule.
Sveðjuárásin um hábjartan dag í Reykjavík var því miður fyrirséð. Það eru öfl sem hata samfélag sitt sem vilja þetta og beita sér af hörku gegn þeim sem elska samfélag sitt og hafa varað við þessu.
Þrjú myndbönd af árásinni eru hér sameinuð í eitt. pic.twitter.com/r7gLQV6zQ5
— Arnar Arinbjarnarson (@arnarar) May 21, 2025
L’Islande ne mettra pas longtemps à se transformer en enfer multiethnique.
Cette île de 383 000 habitants a amorcé son effondrement démographique sous l’effet du féminisme d’état qui y prévaut.
Comme de juste, l’oligarchie démocratique locale a ouvert le pays à un flot croissant de migrants pour permettre aux femmes blanches du pays de ne pas faire d’enfants, féminisme oblige, et ainsi se consacrer à l’essentiel : détruire la société.
Les “demandeurs d’asile” de pays aussi dynamiques culturellement que la Syrie, l’Afghanistan, le Nigéria, la Turquie ou l’Irak (entre autres) ont vu leurs demandes exploser, atteignant un pic record de 4 000 demandes pour la seule année 2023, avec un taux d’acceptation de 30%.
D’année en année, des milliers d’intellectuels du monde afro-oriental s’établissent donc dans la capitale islandaise qui devient lentement, mais sûrement une belle vitrine de la démocratie de marché multiraciale.
La détermination de la démocratie islandaise à abolir l’homogénéité d’une nation insulaire, calme et prospère, pour édifier à la place une société libanisée est d’autant plus forte que les femmes blanches portent le pantalon en Islande.
En 2021, le pays a en effet failli devenir le premier état du monde avec une majorité vaginale au parlement. En 2024, celui-ci est composé de 48% de femmes blanches, toutes fortes et indépendantes.
L’Islande est dirigée par une femme, la socialiste Kristrún Frostadóttir, tout comme l’ensemble des partis représentés au parlement.
Et avec elle, ça ne plaisante pas.
Pour conquérir cet état, il suffit de mettre sa capitale en coupes réglées. Avec 236 000 habitants, elle représente 60% de la population totale.
Importer 20 000 métèques du tiers-monde par an – une paille vue de France – sur dix ans suffirait à faire de ce pays un état à majorité non-blanche.
Les partis féministes islandais s’avancent pas à pas dans cette direction. La part des immigrés est déjà à 18% en 2025, même si pour l’heure la grande majorité est d’origine européenne (polonaise notamment).
En 2024, le solde migratoire était positif avec 9 764 nouveaux venus. Il suffit donc d’un virage “qualitatif” pour que l’Islande devienne un véritable paradis multiculturel au sens où Emmanuel Macron l’entend.
Que pourraient bien foutre des Syriens, des Turcs, des Nigérians, des Afghans aux portes du Pôle nord se demandent les bas du front, rongés par leur xénophobie délirante ?
Faire advenir la farandole de la démocratie sans frontières à laquelle aspirent les femmes blanches qui s’emmerdent avec leurs mâles beta et qui souhaitent épicer leurs longues soirées d’hiver en compagnie de Jamal et de ses cousins.
Et certes, lorsqu’il est question d’envahir un pays blanc pour sauter des Blanches, l’oumma ne se fait pas prier.
Inchallah !