La Rédaction
Démocratie Participative
\n20 mai 2025
“Le problème qu’on a en France, c’est le racisme (…) J’espère qu’on va continuer à se mélanger. Il n’y a plus de Français de souche, ça n’existe plus”
Matthieu Kassovitz sur le service public pic.twitter.com/T3RKeRwbzO— Destination Ciné (@destinationcine) May 19, 2025
Notez que les juifs aiment également dire que les Palestiniens n’existent pas et qu’ils vont de toute façon disparaître.
Dans ce registre, Kassovitz ne cherche pas vraiment à cacher sa haine des Blancs (chez eux). En fait, il assume cette haine génocidaire sans aucun détour.
C’est qu’un fait divers 👍 pic.twitter.com/oxidZXcaC5
— Roro (@rob36187) September 3, 2023
Il est certain que les juifs n’ont jamais jugé pertinent de se conformer aux prêches cosmopolites de Kassovitz, eux qui, aujourd’hui plus que jamais, cultivent dans leur pré carré proche-oriental une brutale politique d’expansion coloniale, ultra-nationaliste, sinon explicitement raciale.
En fait, en même temps que la diaspora juive prône inlassablement la dissolution des nations, des frontières, des états, et d’abord par le mélange racial, prétextant à ce sujet un désintéressement purement humanitaire et la volonté d’agir pour l’avènement de la paix universelle (shalom), elle appuie aveuglément le régime israélien et sa froide politique de domination tribale.
C’EST DIT. « Tout le monde s’est habitué à ce qu’on puisse tuer 100 Gazaouis en une nuit, en temps de guerre, et tout le monde s’en fiche. »
Zvi Sukkot, député israélien du Parti national religieux (extrême droite), Channel 12, vendredi 16 mai 2025. pic.twitter.com/P3PaV18SZ4
— Armin Arefi (@arminarefi) May 19, 2025
Ce constat de double jeu, dès lors qu’il est identifié par les goyim, est invariablement délégitimé par les juifs qui accusent ceux qui le font d’être des “antisémites”, c’est-à-dire des gens qui médisent des juifs sans motif raisonnable, par simple détestation ethnique. Par “haine”.
Nietzsche avait identifié cette originalité caractéristique du juif.
Dans son ouvrage L’Antéchrist, le philosophe allemand écrit avec une exceptionnelle clairvoyance :
Les Juifs sont le peuple le plus remarquable de l’histoire universelle, parce que, placés devant la question de l’être ou du non-être, ils ont, avec une conscience parfaitement délibérée, choisi l’être à tout prix : ce prix fut la falsification radicale de toute nature, de toute réalité, du monde intérieur comme du monde extérieur. Ils se sont barricadés contre toutes les conditions dans lesquelles, jusqu’alors, un peuple pouvait vivre ; ils se sont créé une notion de Dieu et une religion qui les protégeait, en tant que peuple, contre toutes les autres religions, ils ont fait de tout ce qui agit sur eux un moyen de leur conservation. La profondeur psychologique et spirituelle de cette transmutation est sans équivalent ; elle seule nous permet de comprendre quelque chose de l’histoire ultérieure de l’humanité. – Les Juifs ont donné à l’instinct de conservation une expression absolument nouvelle, en inventant un autre monde, où la faiblesse devient une force, où l’humiliation devient une dignité, où la souffrance devient un mérite. Ils ont donné un sens à leur existence, à leur misère, en la faisant apparaître comme une mission divine. »
Finkielkraut, c’est du Nietzsche dans le texte.
“Ce que les survivants de la Shoah demandent à la France, c’est un peu de compréhension pour Israël.”
🗣️Alain Finkielkraut
🔴Donc, La France se doit de valider le génocide des palestiniens par les colons israéliens, pour dédommager les petits enfants de ceux qu’elle a génocide… pic.twitter.com/Yuxx5t2mBA— Debunker NEWS (@DebunkerNews) May 19, 2025
Le juif, pour exister, doit détruire les non-juifs. Non pas seulement les détruire matériellement, mais plus fondamentalement, en s’emparant de leurs représentations du monde, en les subvertissant pour subordonner les nations de la terre aux nécessités parasitaires de l’impérialisme juif.
Aucun autre peuple ne peut se targuer de n’exister que pour détruire autrui, ou, plus exactement, de n’avoir pour raison d’être que d’être la négation d’autrui.
C’est la raison pour laquelle partout où il pose les pieds, le juif finit par rencontrer une violente résistance à ses ambitions génocidaires. Et le juif, qui s’est à demi convaincu de cette mission “divine”, en écarquille les yeux de surprise, sonné de se voir opposé un refus ferme à toutes ses prétentions qu’il dit détenir de Yahweh.
Ainsi en sera-t-il tant qu’un juif foulera cette terre.