Des espions du CRIF recrutés par l’Arcom pour traquer les non-juifs qui s’expriment trop librement – Démocratie Participative

Des espions du CRIF recrutés par l’Arcom pour traquer les non-juifs qui s’expriment trop librement

La Rédaction
Démocratie Participative
\n14 mai 2025

Une belle convergence entre nous, nationalistes, et la gauche radicale sur un sujet essentiel : la dénonciation de la main mise des juifs sur l’appareil d’état français.

L’Arcom sera désormais informé par des mouchards issus du CRIF, le bras de Tel Aviv en France.

On est jamais aussi bien servi que par soi-même.

Blast :

À qui doit on signaler qu’une décision de l’Arcom nous parait inique et partisane ? Nous apprenons, grâce au Figaro ce matin, que l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique) vient de confier le statut de « signaleur de confiance » au CRIF (le Conseil Représentatif des Institutions Juives de France). Ce dont s’est aussitôt réjoui son président : « Ce travail de signalement fait partie de l’ADN du Crif sur l’antisémitisme, le négationnisme et par extension sur toutes les formes de haine que les internautes peuvent être amenés à rencontrer sur les réseaux sociaux ».

Le règlement de l’Arcom précise que ces « signaleurs » sont des « organisations reconnues pour leur expertise dans la détection, l’identification et la notification de contenus illicites ». Jusqu’à présent, ils étaient six et tous centrés sur la protection des mineurs, la lutte contre la piraterie audiovisuelle, la cybercriminalité, la cyberviolence ou les addictions et la défense des consommateurs.

En confiant cette mission à une association religieuse et aux prises de positions controversées, en particulier alignée sur la protection du gouvernement d’extrême droite génocidaire d’Israël, l’Arcom franchit une borne et ouvre une sérieuse brèche dans ce qui lui restait d’impartialité.

Pour le Crif, l’antisionisme est un antisémitisme. Ses prises de positions, surtout depuis le 7 octobre 2023, ont constamment évolué quant à la définition de l’antisémitisme et du négationnisme. En confiant à ses militants qui criminalisent plus vite qu’ils ne défendent les journalistes qui tentent d’informer sur Gaza, l’Arcom manque à la plus élémentaire des sagesses. Ceux qui vont maintenant remettre en cause la doxa qui voudrait que tout palestinien et par extension tout soutien à la cause palestinienne soit devenu un antisémite ont du souci à se faire.

Question : à qui s’adresser à l’Arcom si on pense que le Crif attise la haine en ligne ?

C’est une excellente question.

La réponse est connue : à personne.

Les goyim n’ont pas de droits en démocratie, seulement des privilèges accordés par les juifs qu’ils peuvent leur retirer à tout instant.

Cette décision de l’Arcom de s’appuyer sur le CRIF – en pratique une cellule de Tsahal située en Palestine occupée – pour repérer les opposants, les traquer et les neutraliser, trahit le fait que l’État français n’est plus en mesure de réprimer avec l’intensité que les juifs exigent.

Ils prennent donc les choses en mains, directement.

Et au passage, ils se goinfrent sur le dos de leurs victimes.

Comme nous le disions hier, les juifs concoctent une offensive au parlement qui vise à les doter de pouvoirs exceptionnels afin de réprimer avec une violence inédite toute forme de critique de leur suprématie.

Bizarrement, la bollosphère nous explique que c’est le contresémitisme qui est aujourd’hui un problème en France, en Europe et dans le monde, alors qu’il est la solution.

On l’oublie trop souvent, mais la liberté en général, et la liberté d’expression en particulier, est incompatible avec les juifs, a fortiori avec un État contrôlé par les juifs.

Ces gens sont des esclavagistes nés.