“C’est pas parce que je suis blanc que je représente les Blancs” – Démocratie Participative

“C’est pas parce que je suis blanc que je représente les Blancs”

La Rédaction
Démocratie Participative
\n26 mai 2025

 

La castration mentale des Blancs est maximale en France.

Navero comprend parfaitement l’existence d’une dynamique raciale autour du MMA, sinon il ne chercherait pas à se justifier en disant qu’il n’est pas le représentant des “Blancs” dans ce sport.

S’il le fait, c’est pour ne pas être associé aux “racistes” — terme qui désigne désormais tous les Blancs dotés d’un instinct de conservation collectif. À “l’extrémisme” comme le dit Navero.

Il ne s’agit rien d’autre que d’un rituel de soumission qui vise à rassurer les allogènes, grands consommateurs de ce genre de spectacles, et à leur garantir qu’il comprend l’échelle raciale en vigueur au terme de laquelle les Blancs n’ont pas le droit d’afficher leur fierté raciale, ni d’agir comme groupe conscient de ses intérêts.

Paradoxalement, contrairement au discours antiraciste de Navero, se justifier de la sorte n’est nécessaire que parce qu’il est blanc, donc suspect d’être un “raciste”, c’est-à-dire un homme blanc conscient de sa race et prêt à se défendre.

Cela nous donne cette scène étrange où un combattant blanc assure qu’il est inoffensif et que ses victoires sont fondamentalement du cosplay.

Aucun Noir ou aucun Arabe ne ressent le besoin d’agir de la sorte. Bien au contraire, vouloir représenter sa race est, pour les Noirs ou les Arabes, et en fait pour n’importe quel groupe racial à l’exception des Blancs, non seulement naturel et normal, mais  obligatoire.

Un Arabe qui dirait vouloir “représenter la France” et pas seulement les Arabes serait identifié comme un traître, “un suceur”, la “France” étant associée aux gwers chez les Maghrébins.

Quoi qu’en dise Navero, il s’exprime bien au nom des Blancs, mais pour se soumettre symboliquement en leur nom.

Notons avec satisfaction qu’un nombre croissant de Blancs actent de cette réalité et rejettent ce genre de scène qui vise précisément à les humilier collectivement.

Il est tout aussi remarquable que Navero accompagne ce rituel d’un prêche démocratique dans lequel il identifie la “France” à “la liberté de faire ce qu’on veut”.

Les mêmes libertés sont pourtant en vigueur au Canada, aux USA, en Belgique, en Croatie, et ailleurs dans le monde occidental. Elles n’ont rien d’exclusif à la France.

C’est l’expression du fait que les Blancs ne peuvent exister collectivement que comme rouages de la démocratie libérale, et non pour ce qu’ils sont, comme tribu. En démocratie, l’homme blanc n’a pas le droit d’appartenir consciemment et activement à son groupe racial.

La destruction de l’affinité tribale blanche est inhérente à la civilisation démocratique où “l’État de droit” détient le monopole de l’organisation du sentiment collectif à travers l’agglomération des individus par la loi. Toute forme de sentiment communautaire blanc est identifié comme une attitude séditieuse, voire sécessionniste, a fortiori dans une société multiraciale.

Il ne peut pas y avoir de renaissance des peuples blancs sans résurgence de leur sentiment collectif, lequel ne peut émerger qu’en abandonnant les principes de la démocratie libérale qui place l’individu au dessus du groupe.

Et puisque je parle de sécessionnisme blanc, je vous invite à lire ou relire l’article écrit à propos de la sécession sudiste (1861 – 1865). Tout s’y trouve déjà.

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