Amoureuse d’un Masaï, Laura remue ciel et terre pour alimenter en eau sa large tribu

La Rédaction
Démocratie Participative
08 mai 2025

La colonisation est la grande occasion manquée de l’homme blanc. Si, au lieu de son humanitarisme chrétien incapacitant, il avait eu la détermination de Staline et un peu d’amour pour sa propre race, l’Afrique, enfin libérée de la faune nègre par les méthodes les plus expéditives et les plus rigoureuses, aurait pu être un véritable paradis sur terre, par et pour l’homme blanc. Il n’est aujourd’hui qu’un enfer aux proportions continentales dont l’ombre démographique s’éboule sur nos têtes.

On parle souvent des putes à nègres bretonnes, mais ce serait réduire le problème à une géographie élémentaire.

Ce fléau est bien plus répandu.

Le Midi Libre :

Tout part d’une rencontre lors d’un voyage. Et depuis Laura Belti se démène pour que 80 familles puissent avoir accès à l’eau potable toute l’année.

« Cette histoire est un peu folle quand on y pense », confie Laura Belti. L’Italienne devenue Montpelliéraine depuis 20 ans ne pensait pas qu’un voyage touristique allait changer sa vie. L’an passé, elle se rend en Tanzanie. Le destin va lui faire croiser la route de Yarrelaï, un Masaï qui vit dans le nord du Pays. Elle tombe sous le charme de cet homme issu de cette tribu emblématique en Afrique qui est réputée pour vivre en harmonie avec les animaux de la savane. Le coup de foudre est réciproque.

Chez les nègres, tout s’inverse.

Ce ne sont plus les Blanches qui attendent de trouver le pigeon qui paiera la note, mais l’inverse.

Je vais vous le présenter, moi, le tableau : 87 kilos, les nichons aplatis qui dégueulent sur une panse gonflée, deux immenses gigots perclus de cellulite en guise de fesses, la peau usée, et le cafre, indifférent et mécanique qui bourrique la vache italienne en pensant justement aux siennes, de vaches, et à tout ce qu’il pourra convoiter de jeunes négresses une fois qu’il aura établi un puits qu’il monnayera impitoyablement à tous les clans locaux. Le rêve de tout nègre qui se respecte : roi nègre.

Au fil de leurs discussions*, elle découvre alors le problème que son village et ceux alentour rencontrent au quotidien : le manque d’accès à l’eau. « On le sait pourtant, mais là ça devenait concret. J’en ai vraiment pris conscience. »

*brutales séances d’introduction pénienne dans quelque coin de brousse, le cul dans la terre

« En dehors des périodes de pluie, les 80 familles concernées doivent parcourir des kilomètres pour recueillir de l’eau parfois stagnante et donc souvent impropre à la consommation. Un puits réglerait tous les problèmes. »

D’autant plus que l’eau récoltée est également destinée pour l’agriculture et le bétail. « En finançant la création d’un puits à proximité du village, la communauté pourra bénéficier d’un accès à l’eau en continu, ce qui améliorera grandement la qualité de vie des habitants. »

Ça nous avance.

Pour ce faire, elle a contacté plusieurs associations dont Jesi-Kilimanjaro qui a déjà effectué des missions humanitaires en Tanzanie. « Ce projet convenait parfaitement avec nos actions, alors il était logique qu’on le soutienne, confie emballée Aude Grenier la vice-présidente. Avant d’ajouter : C’est vraiment top d’avoir une volontaire super motivée comme Laura. »

La coalition des femmes blanches veut notre perte en alimentant comme des damnées la machine infernale de la natalité négroïde.

Ledit cafre, futur roi nègre

Des experts ont été dépêchés sur place pour étudier la faisabilité d’une telle construction. Les analyses ont confirmé la présence d’eau à environ 200 mètres de profondeur. Le devis – comprenant l’excavation, l’analyse de l’eau, la pose de tuyaux, l’installation de pompe… – s’élève à un peu plus 20 000 euros.

Dans ce pays, c’est une véritable fortune.

Ils ont trouvé la dinde idéale.

Laura Belti, en plus d’organiser de multiples actions, a lancé un appel aux dons auprès de ses proches, de ses collègues et au-delà. « J’espère que bientôt, le village d’Erelai où vit Yarrelaï, pourra accéder à cette ressource vitale qu’ici nous semble si normale ici en France. »

Ces salopards de la presse juive refilent évidemment le lien de la cagnotte aux truies blanches qui se font chier dans leur appartement et qui soupirent après un rêve exotique : se faire bourriquer dans une hutte par quelques unes de ces bêtes noires.

Vous riez, mais c’est pourtant ce à quoi aspire la fonctionnaire de gauche typique, singulièrement celles qui se rapprochent de la ménopause.

Si vous saviez.

Les cartes postales des pires bleds du monde épinglées sur les murs de leur bureau qu’elles fixent lors de leurs interminables journées de « travail » (elles ne branlent rien), en plein mois de novembre, sombre et pluvieux, rêvant de pénis noirs, de soleil et de cocotiers, avec une petite mission « humanitaire » en prime, histoire de satisfaire le narcissisme névrotique que 15 siècles de christianisme messianique ont bétonné dans leurs cervelles.

Hosanna, sauvons les bistres !

C’est l’univers intérieur de ces gourdes qui, en France, sont des millions.

Des millions.

Accablante pensée.

Et comme il n’y a pas de guerre, pas de famine, pas de révolution, pas de séisme, rien, les vaches blanches de France peuvent tranquillement, et sans crainte, continuer de mijoter dans leur négraille sexuelle, à feu doux, de décennie en décennie, avec les copines.

Là, tout de suite, il nous faudrait une peste noire (l’autre).

Et aussi la charia blanche.

C’est vrai que je dis du mal de l’islam, et des musulmans, mais soyons tout à fait honnêtes : il n’y a pas de putes à nègres en Afghanistan, pas l’ombre d’une seule.

Les mahométans ont compris deux ou trois choses à propos de ces traînées qui échappe formidablement à l’homme blanc moyen.

Cinq femmes blanches ont décidé de partir en vacances en Afrique, au Sénégal. Comment se termineront ces vacances ?